PARIS, le 20 septembre 2015,
A deux jours du départ, je
file au musée Guimet, le musée des arts asiatiques, où il existe une salle
dédiée aux arts de l’Himalaya, histoire de me mettre dans l’ambiance.
En fait d’ambiance
l’atmosphère est feutrée, si ce n’est une professeure d’histoire qui explique
comment la déesse Ganga, réticente, s’est laissée convaincre de déverser sa
longue chevelure fertile sur le nord de l’Inde.
Je compose avec les
éclairages et je fais deux dessins,
Mais rien a voir avec ceux
que je vais dessiner quelques jours plus tard au Népal où les dieux, présents
dans les statues, les temples et les montagnes, portés par la ferveur populaire
retrouvent tous leurs pouvoirs de séduction et leur incomparable beauté.
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